Organisateurs : Croix-Rouge du Kenya et Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge
Langues : anglais, français
Lieu : Salle 15
Description :
Cette rencontre organisée par la Croix-Rouge du Kenya et la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge comportera des présentations et une réunion-débat qui aura pour titre « Vers une meilleure résilience alimentaire » – un appel à renforcer la collaboration et à définir des moyens d’unir nos forces pour parvenir à la résilience alimentaire. Elle sera animée par l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), avec un groupe d’experts composé de représentants de la Croix-Rouge du Kenya, de la Croix-Rouge des Pays-Bas et de la société Nestlé.
Seront également présents des membres de la diplomatie et du secteur du développement, des représentants des Sociétés nationales ainsi que du secteur privé et des milieux universitaires, ainsi que des chercheurs et des représentants de la société civile, pour discuter de la résilience alimentaire et confronter leurs observations à ce sujet. La sécurité alimentaire, l’agriculture durable et la nutrition sont autant d’éléments qui contribuent à une production durable et qui jouent un rôle crucial dans la résilience alimentaire. Les éléments indispensables pour améliorer la résilience alimentaire sont : une approche multisectorielle associant les différentes parties prenantes en vue d’intégrer pleinement la gestion de la sécurité alimentaire ; une agriculture et des programmes de nutrition reposant sur des institutions fonctionnelles ; des mécanismes de gouvernance des risques ; des systèmes d’alerte précoce en cas de phénomènes météorologiques ou climatiques extrêmes ; et des partenariats avec le secteur de la recherche et le secteur privé. Il est désormais admis que la malnutrition n’est pas un problème qui peut être réglé seul, mais qui relève d’un ensemble de mesures spécialement axées sur la nutrition ou soucieuses de la nutrition, consistant notamment à tenir davantage compte du climat dans l’agriculture et à veiller à la pérennité des moyens de subsistance. La récurrence des crises alimentaires et la concurrence pour l’accès aux ressources obligent la communauté internationale à se soucier davantage de limiter les risques et d’améliorer la résilience alimentaire des communautés.